Au cœur de la vallée du Cher, à la croisée des routes touristiques du Val de Loire, Saint-Avertin constitue un des poumons économiques de la métropole de Tours, avec une centaine d’entreprises implantées dans deux importantes zones industrielles.
C’est aussi et surtout une ville verte avec 40 % de zones naturelles et 25 km de pistes cyclables.
Sur le plan culturel, la ville est reconnue par l’ensemble de l’agglomération tourangelle grâce à une programmation artistique riche, éclectique et de qualité.
Avec ses 5000 licenciés et ses nombreux équipements sportifs, l’association Saint-Avertin-Sports représente le club omnisports le plus important de la région Centre Val de Loire.
La cinquième ville du département de l’Indre-et-Loire n’oublie pas non plus de valoriser son patrimoine dans un mélange de tradition et de modernité unique en son genre, comme en témoigne l’implantation d’une médiathèque high-tech dans le château historique de Cangé ou la mise en place d’une guinguette l'été, en mémoire de son passé glorieux et attractif.
Dans la première moitié du siècle dernier, Saint-Avertin était une véritable cité de villégiature qu’on surnommait « le petit Deauville » avec ses belles demeures, ses fameuses guinguettes, ses nombreux bars, restaurants et dancing, le tout au bord du Cher où l’on pouvait y naviguer. Pour beaucoup, c’est le lieu idéal pour venir piquer une tête, canoter, pêcher, s’aérer la tête ou danser sur les parquets. L’écrivain Jules Romains, auteur de la célèbre pièce « Knock », décrivait Saint-Avertin comme « la plage de Tours, où il y vivait ses plus belles vacances ».
Résolument ancrée dans le XXIe siècle, la ville puise sa force dans sa douceur de vivre, si chère aux Saint-Avertinois.