MALANDAIN BALLET BIARRITZ

Rencontre entre le génie de la musique et la virtuosité de la danse du Malandain Ballet

Mozart à 2
En 1997, Thierry Malandain créé sur plusieurs concertos de Wolfgang Amadeus Mozart la pièce Mozart à 2. Au fil de la pièce, des duos s'enchaînent et rendent compte d'épisodes amoureux dans le contexte d'un bal, lieu propice à la fête mais révélateur des solitudes. C'est cette physionomie changeante d'un sentiment qui se mesure parfois à l'ampleur du manque que nous abordons. La musique porte les cinq couples, entre passion et tourments, et parcourent la « Carte du Tendre » qu'élaborèrent les beaux esprits du XVIIème siècle. 

Sous les partitions de Mozart, cette pièce illustre l'idéal galant empreint de légèreté et de sensualité de l'amour mais aussi les pages plus graves témoignant de la poursuite d'un absolu inatteignable.

Beethoven 6
Né d’une invitation de l’Opéra de Bonn, ville natale de Ludwig van Beethoven, à l’occasion du 250e anniversaire de sa naissance, Beethoven 6 puise dans la musique puissante et évocatrice du grand compositeur allemand. Thierry Malandain, signe ici une œuvre en phase avec la musique d’un Beethoven épris de liberté et d’idéal. La pièce présente la partie du ballet La Pastorale chorégraphiée sur la 6e symphonie « Pastorale ».

 « La Pastorale invoque l'antiquité hellénique, comme lieu de nostalgie et de perfection artistique, de la douleur d'un désir sans fin à la béatitude de la lumière originelle. » Thierry Malandain

Mozart à 2
 « Le chorégraphe parvient à rendre sexy la musique de Mozart, osant un roulement de fesses ou une pirouette sur un bras. » Les Échos
Beethoven 6
« Un ballet blanc d'autant plus beau et séduisant qu'il est magnifiquement dansé. L'artiste [Thierry Malandain] a rempli une de ses missions : il a créé la beauté. » Le Figaro

« Voilà [vingt-trois ans] que Thierry Malandain et son Ballet Biarritz secouent l’académie. Ecriture classique un tantinet débauchée aux audaces contemporaines, sa grammaire à lui fait continuité plutôt que rupture. Et elle le fait bien. » Elle