Festival de la Dive Musique: « Plaisir d’amour »
Pour son 2e concert, le Festival de La Dive Musique nous invite, le 18 août, à une soirée des plus romantiques dans un cadre qui ne l’est pas moins : le Manoir de la Grand’Cour (Seuilly). Après un dîner face au spectacle de la nature (19h), la soprano Ingrid Perruche, accompagnée au pianoforte par Daniel Isoir, interprètera le « Plaisir d’amour »… (20h30)
19h Dîner (30€ par personne, sur réservation sur www.ladivemusique.fr)
20h30 Concert
Programme : « Plaisir d’amour »
Mozart : 4 Lieder : Dans un bois Solitaire et sombre / Als Luise die Briefe / Das Lied der Trennung / An Chloë
Haydn : 4 Lieder : She Nevers told her love / Fidelity / Der Verlassene / Der Erste Kuss
Beethoven : 3 Lieder : Der Kuss / Ich liebe dich / Neues Liebe neues L'ébénisterie
Boieldieu : 3 mélodies : Le premier baiser / La brise / Sous l’ombre fleurie
Grétry : 3 romances : La gaïeté villageoise / L'amant rassuré / La carrière, chansonnette
Cherubini : 4 romances tirées du “Roman d'Estelle” : Je vais donc quitter pour jamais… / Adieu bergère chérie / Que j'aime à voir les hirondelles… / J'aime…
Martini : Les amants heureux / Plaisir d'amour
"De Mozart à Beethoven, de Boieldieu à Martini, l'amour dans tous ses états, du premier baiser aux premières larmes... plaisir d'amour ne dure qu'un moment…"
Lieder, mélodies et romances par Ingrid Perruche soprano et Daniel Isoir pianoforte
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Conception, texte, interprétation, guitare et chant : Hélène Palardy
Mise en scène, dramaturgie : Anne Marcel
Création lumière : David Mastretta
Rebelle et libre, Janis Joplin, 27 ans, fait une entrée fracassante dans le monde du rock et bouscule les normes des années 60. Elle devient à tout jamais une légende.
Entre récit et concert, Hélène Palardy partage l’histoire et le lien qu’elle a tissé avec cette icône. Seule, à la guitare, elle donne à ce biopic chanté, intime et décalé, une énergie survoltée.
C’est l’occasion de révéler les nombreuses voies que Janis Joplin a ouvertes aux femmes et rappeler ce que son époque dit de la nôtre. La femme et l’artiste irradient à nouveau la scène dans une ode à la liberté.